REVUE DE PRESSE

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Interview sur la radio BFM Business dans l’émission Goûts de Luxe animée par Carine Vergniolles, thème : « Les nouveaux créateurs masculins »,  13 Janvier 2013

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Parution dans interior+design Russia, portrait du responsable du design joaillier chez Lalique, Quentin Obadia, habillé par Audrey Zanin, Août 2012

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Lookbook paru sur le site du 12th Shenzhen Fashion Fair, China, Juillet 2012

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公司名称:Audrey ZANIN[预约]

中文品牌:

英文品牌:EFFETS SONORES

展品类别:男装、服饰

展馆号:2号馆    展位号:2E07

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EFFETS SONORES男装品牌由Audrey ZANIN创立于2008年。

“EFFETS SONORES”利用简洁灵活的线条,突显出男士的线条,给人带来一种战士或者征服者的感觉。夹克的版式独特,服装的纹理与材料的色彩使人产生联想,这个品牌的独特性就是专门来迎合个性的人群。

“共振”是设计师的第一个创作灵感,EFFETS SONORES利用材料、颜色、图案与编织物的结合产生“共振”来为服装产生共鸣。自2008年创立品牌以来,EFFETS SONORES深受广大艺术家的喜爱,如画家Florent Chopin等。于2010年在巴黎举办了第一场发布会。

2012年EFFETS SONORES将在法国巴黎及意大利都灵等地开设商店。

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作品欣赏

上一展商:欧宝远东服饰(深圳)有限公司

下一展商:深圳市龙浩天地商贸发展有限公司

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中国(深圳)国际品牌服装服饰交易会

主办单位:深圳市服装行业协会    承办单位:环宇时尚展览(深圳)有限公司

地址:深圳市福田区车公庙泰然工业区中国有色大厦11楼  邮编:518040

展馆地址:深圳会展中心 (中国深圳市福田中心区福华三路)

电话:0755-83472856、83472956   传真:0755-83472509

EFFETS SONORES:

男装品牌,由Audrey ZANIN创立于2008年。“EFFETS SONORES”利用简洁灵活的线条,突显出男士的线条,给人带来一种战士或者征服者的感觉。“共振”是设计师的第一个创作灵感,EFFETS SONORES利用材料、颜色、图案与编织物的结合产生“共振”来为服装产生共鸣。

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EFFETS SONORES 作品

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Article paru dans le Parisien suite au Gala annuel de l’Ecole Polytechnique, Mai 2011

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Actualité > Palaiseau

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La fête géante sous haute surveillance

SÉBASTIEN MORELLI | Publié le 23.05.2011, 07h00

PALAISEAU, ECOLE POLYTECHNIQUE, DANS LA NUIT DE SAMEDI À DIMANCHE. Sept mille étudiants sont venus fêter à guichets fermés le gala de l’École polytechnique. Au programme : les concerts de Martin Solveig et de Stromae, un défilé de mode et des cocktails aux noms insolites. Le service de sécurité était à la hauteur des festivités et il n’y a pas eu de débordement. (DR.)

La première chose que l’on voit en arrivant, c’est un type qui pendouille au bout d’un élastique accroché à une grue perchée à plusieurs dizaines de mètres de hauteur. Ensuite, c’est le bruit des basses de la puissante sono de la scène extérieure qui vous chatouille les oreilles. Dans la nuit de samedi à dimanche, 7000 étudiants, essentiellement de grandes écoles, sont venus s’éclater au Point Gamma, le gala de l’Ecole polytechnique, à Palaiseau.

Point d’orgue des festivités, les concerts de Stromae et de Martin Solveig, mais aussi le défilé de mode, très suivi. (Effets Sonores et Mme Antoine)

Un gala où on ne plaisante pas avec la sécurité. A l’entrée, quand vous arrivez en voiture, les gendarmes sont là et fouillent tous les coffres. Et l’on vous demande bien sûr votre billet, puisque la soirée se déroule à guichets fermés. Pas de réservation, pas d’entrée. Une fois passée cette première inspection, une deuxième vous attend. Cette fois, c’est le service de sécurité qui vous passe au détecteur de métaux et ouvre les sacs. Et là, vous recevez divers bracelets vous autorisant, si vous avez plus de 18 ans, à consommer de l’alcool ou des jus de fruits ou sodas si vous conduisez.

Une fois à l’intérieur, c’est la fête et les étudiants de l’école ne manquent pas d’humour et d’imagination. Au Rainbow Bar, une conso achetée égale une capote. Au Kahl Bar, le service se fait en caleçon et en marcel et vous pouvez y consommer des mixtures aux noms évocateurs de Ptit’dentelle, Guêpière ou Cuir latex, des mélanges de bières, de crème de cassis et de bonbons. A noter également l’Atomic Bar et ses cocktails Tchernosoft, Irradié et autre Contaminé. Bref, le choix de boissons est vaste… et le service de sécurité et de secours y est proportionné. De nombreux agents de sécurité veillent et l’unité mobile de premier secours (UMPS 91) est présente avec une trentaine de secouristes, un médecin, une infirmière, trois ambulances…

L’école, de tradition militaire, tient à son image. Pas question de tolérer le moindre débordement. Cela dit, les étudiants, venus en tenue décontractée, sont plutôt sages. L’ambiance est bon enfant, même si au fur et à mesure de la soirée certains commencent à avoir la démarche moins assurée et un discours manquant de cohérence. A l’issue de la soirée, aucun incident important n’avait été signalé. Habituellement, les secouristes de l’UMPS effectuent néanmoins une petite centaine d’interventions en moyenne pour des malaises vagaux — ah, ces jeunes filles qui ne se nourrissent pas assez — ou des chutes — beaucoup d’escaliers à Polytechnique — dues à la consommation d’alcool.

Le Parisien

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Interview parue sur le site de diffusion de créateurs OHIPA, 2009

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ohipa-photo-perso                                                                                                                                       

“Audrey Zanin, créatrice des vestes « Effets Sonores » nous confie sa passion.

Lorsqu’elle n’enseigne pas l’histoire-géo à ses élèves, Audrey exerce sa passion… Créatrice de mode !
Zoom sur une personnalité d’exception….

OHIPA > Parle-nous de ta marque, pourquoi « Effets Sonores » ?

Audrey > « Effets Sonores » car dans ma passion pour le stylisme se rejoignent plusieurs autres passions : le dessin, la musique et ma fascination pour l’univers du travail du son.

Quand je choisis mes tissus, ils doivent donner une vibration, à la manière d’un son transcrit visuellement.

Cette vibration peut venir de la matière en soi, de ses motifs, des couleurs ou d’associations de couleurs ou de matières puisque je travaille beaucoup l’association de la doublure de mes vestes au tissu extérieur.

Donc on peut dire que pour moi, chaque modèle raconte un univers sonore particulier.

Mais ce n’est pas un message univoque, c’est une inspiration. Libre à chacun d’y voir ce qu’il y voit bien sûr, j’ai d’ailleurs eu des échanges très intéressants avec mes clients à ce sujet.

OHIPA > Raconte-nous tes débuts dans la mode, comment tout a commencé ?

Audrey > Je suis autodidacte, j’ai acquis un savoir technique dans le domaine de la couture par la généreuse transmission d’une personne de ma famille qui m’a beaucoup aidée et encouragée.

J’ai une formation toute autre, universitaire, en Histoire et Philosophie.. j’ai fini par passer mon CAPES d’Histoire-Géo et devenir enseignante en collège. C’est un beau métier, j’ai toujours aimé transmettre et être au contact des enfants, des enfants défavorisés ou en difficulté sociale et/ou scolaire en particulier. C’est un travail enrichissant et qui demande énormément d’énergie. La dimension artistique me manquait toutefois, car j’ai toujours pratiqué diverses activités artistiques à côté de mes études : dessin, peinture, musique, photo… Ma découverte de la couture a été concomitante à celle du son, et j’ai trouvé des échos saisissants entre ces deux domaines.

Par ailleurs j’avais très envie de dessiner des vêtements pour homme. La première veste que j’ai faite a tellement plu que je me suis dit « pourquoi pas ? ».  J’avais besoin de me réaliser différemment dans mon travail, très envie d’être à mon compte et à mon rythme, dans un environnement plus calme, plus serein.

Depuis je me forme au modélisme par petites touches, et je développe ma ligne de vêtements pour homme. L’homme libère mon inspiration : on ne peut pas dire que le marché soit saturé. J’aime mettre en valeur les lignes masculines.

OHIPA > Y-a-t-il une pièce dans ta collection qui te tienne particulièrement à coeur ?

Audrey > La pièce qui me tient le plus à coeur est sans doute la toute première veste que j’ai faite, même si le concept n’était pas encore tout à fait au point. J’aime tout particulièrement la doublure en velours que j’avais trouvée, aux rayures irrégulières de noir, orange, jaune, bleu canard.. matière vibrante par elle-même et ses couleurs, ça avait un petit côté Paul Smith revisité, par ailleurs, que j’aime beaucoup. Le jeu des tissus avec la lumière était très subtil. Elle correspondait tout à fait à la personnalité de celui pour qui je l’avais faite, et c’est là tout le but de ma recherche. Chaque pièce rencontre, selon moi, son propriétaire. Et quand cette rencontre est réussie je suis aux anges (et en général le propriétaire aussi!). C’est là tout le sens de ma recherche.

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  Joseph d’Anvers, Photographie : Diane Lui

OHIPA > Quel est ton meilleur et ton pire souvenir professionnel ?

Audrey > J’ai beaucoup d’excellents souvenirs professionnels, en terme de rencontres en particulier, ce malgré la jeunesse de ma carrière… C’est Eric (Sakal) qui m’a permis de lancer ma première collection et de faire mon premier salon, en me guidant pas à pas. Ensuite les belles rencontres ont été jusqu’ici nombreuses, certaines sont devenues des amitiés fortes, je pense en particulier au designer hollandais Ruben Monfroy (RumoeR).

La dernière en date est certainement celle de Stéphane-Jacques Lartigolle qui m’a ouvert les portes de l’hôtel Murano, en y portant plusieurs soirs de suite différentes vestes Effets Sonores. Les retours que j’ai eus à cette occasion de la part de designers internationaux m’ont plus que ravie et m’ont énormément encouragée !
Mon pire souvenir….il est arrivé à deux occasions qu’un essayage de veste se transforme sous mes yeux effarés en règlement de compte de couple.. pas très agréable.

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 Joseph d’Anvers, photographie Diane Lui    

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Joseph d’Anvers, photographie Diane Lui

OHIPA > Comment as-tu découvert OHIPA ?

Audrey > J’ai eu la chance de découvrir OHIPA en rencontrant Jérôme Jondeau sur l’un de mes tout premiers salons. OHIPA était en projet alors, le concept était très séduisant. Beaucoup de chemin a été parcouru depuis, je crois que leurs créateurs sont en train de réaliser exactement ce qu’ils souhaitaient!

OHIPA > Que penses-tu d’OHIPA et de ses services ?

Audrey > Je pense que c’est une organisation exceptionnelle, l’ambiance du salon OHIPA’shop est tout à fait inégalée : les organisateurs sont chaleureux, soucieux que chacun soit satisfait et se sente bien, ils sont très investis à nos côtés, d’un dynamisme et d’une efficacité redoutables, tout en restant très à l’écoute. Je pense qu’ils ont là la recette du succès, tant auprès des créateurs que des clients. Ce que prouve une demande qui m’a récemment été faite, de la part d’une cliente (pour son mari) journaliste, pour faire paraître un article dans le magazine Vanity Fair.”

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